C’était le début de l’après-midi et Aïcha était une beurette joyeuse. Elle et son amie Samira venaient d’enménager dans un nouvel appartement et tout se passait comme prévu : leur vie sexuelle s’était vue soudainement pimentée d’aventures érotiques tout à fait satisfaisantes !
Ce jour-là, Aïcha, comme à son habitude, était fringuée en parfaite salope arabe : chaussures à talons interminables, socquettes blanches, jupe écossaise ultra-courte, chemisier blanc transparent et, bien entendu, ni culotte, ni soutien-gorge. Et pour corser le tout, elle avait décidé de se coiffer avec des couettes et de porter des lunettes. En la voyant ainsi, même un eunuque aurait attraper la gaule ! D’ailleurs, c’est ce qu’elle voulait. Elle envisageait sérieusement de s’envoyer le premier mec mignon, et surtout timide, qu’elle rencontrerait. Elle attendait donc sagement l’ascenseur devant la porte de son appartement pour commencer la chasse à l’homme.
L’ascenseur arriva et les portes s’ouvrirent. Dans la cabine, il y avait le facteur. Ce dernier portait un paquet, et regarda, assez stupéfait, la jolie beurette qui se tenait devant lui, provocante. Il balbutia quelques mots :
– « Bonjour, je cherche Mademoiselle Samira BHOURAKI. Vous savez où se trouve son appartement ? »;
– « Bien sûr », répondit Aïcha, « C’est ma colocatrice mais elle est actuellement absente. C’est un paquet pour elle ? Voulez-vous que je m’en charge ? »;
– « Si vous voulez, c’est gentil. », répondit le facteur intimidé.
Le facteur sortit un document qu’il tendit à Aïcha en lui indiquant l’endroit où signer. « Accidentellement », Aïcha effleura la main du facteur qui s’empourpra jusqu’aux oreilles. « C’est vrai qu’il est jeune et boutonneux. Son expérience des femmes doit être assez limitée et il doit être plus habile à se tripoter le chibre qu’à astiquer des clitoris ! » se dit-elle. Dès la signature exécutée, le facteur tendit le paquet à Aïcha qui le secoua en le portant à son oreille. Le facteur appuya sur le bouton « RdC » de l’ascenseur et les portes commencèrent à se refermer. Aïcha les bloqua immédiatement avec son pied, exagérément levé, découvrant furtivement son intimité au facteur de plus en plus rouge.
– « J’aimerai contrôler l’état du colis, si cela ne vous gêne pas. », dit-t-elle innocemment au facteur.
– « Je vous en prie. ».
Pour plus de commodité, c’est du moins ce qu’elle voulu lui faire croire, Aïcha s’accroupit en écartant les jambes au maximum. Évidemment, la jupette s’ouvrit et les deux pans de tissu tombèrent de chaque coté des jambes de la jeune arabe offrant une vue parfaite au facteur. Non seulement, il pouvait matter les seins généreusement offerts de cette petite cochonne arabe, mais en plus il avait une vue imprenable sur sa jolie petite moule. Aïcha pensa qu’il devait commencer à avoir une bonne trique. D’ailleurs, un coup d’oeil rapide au pantalon du jeune homme lui indiqua qu’elle avait tout à fait raison. Elle tarda volontairement à ouvrir le paquet, histoire que la gaule qu’elle avait bien l’intention de s’enfiler soit la plus dure possible. Elle finit par sortir un énorme gode vibrant en plastique noir. « Ah Samira, j’en étais sûre. T’es vraiment qu’une salope arabe ! », pensa-t-elle. Elle regarda le facteur droit dans les yeux, et avec un air ingénu, lui dit qu’elle aimerait bien vérifier que l’appareil fonctionne correctement car sa co-locatrice risquait de lui en vouloir dans le cas contraire. Le facteur, rouge et transpirant, donna son accord d’un hochement de tête. Elle tendit le gadget sexuel au facteur qui s’en saisit sans réfléchir, se retourna, souleva sa jupette, se pencha vers l’avant, se cambra du plus qu’elle put, entrouvrit sa chatte, déjà trempée, et demanda au jeune homme :
– « vous pourriez le mettre en marche, le glisser sur mon clitoris puis me l’enfiler ? Plusieurs fois ? ».
Le facteur, hésita quelques secondes et confirma qu’il procéderait au test comme demandé. Il devait vraiment se demander ce qui se passait !
Aïcha, qui ne voyait plus le facteur, entendit un léger vrombissement. Puis, la douce sensation d’un vibromasseur sur ses lèvres puis son clito l’envahit totalement. Le facteur tenait son rôle parfaitement. Il alternait les vibrations du clitoris et les pénétrations profondes avec des gestes maladroits mais, néanmoins, efficaces…
Au bout de quelques minutes, Aïcha décolla vers le septième ciel en se tortillant de tous les cotés et en s’empalant brutalement sur le gode toujours tenu, fermement, par le jeune facteur.
Enfin, elle se redressa, abaissa sa jupette, ajusta sa poitrine et reprit l’objet du délit au jeune homme en le remerciant sincèrement pour son aide. Elle remarqua que le jeune homme avait la main toute mouillée de son jus de chatte. Elle sourit.
– « Je crois qu’il fonctionne parfaitement », indiqua Aïcha.
– « Oui, apparemment », retorqua le jeune facteur, à bout de souffle.
– « Et bien, je vous remercie, Monsieur. »
– « Il n’y a pas de quoi, à votre service ».
Et, chose incroyable, il se retourna, appuya sur le bouton RdC et la regarda en attendant d’être emporté par l’ascenseur ! Aïcha, n’en revenait pas. Elle qui comptait se prendre un coup de queue ! Que fallait-il faire ? Ce garçon venait d’enfiler un gode dans la chatte d’une trés jolie beurette pendant au moins quinze minutes jusqu’à la faire jouir, et tout ce qu’il trouvait à faire, c’était de repartir sans tenter de la baiser. Pourtant elle voyait bien qu’il bandait comme un taureau. Cela ne se passerait pas comme ça ! Parole de salope arabe !
– « S’il vous plait, attendez ! », dit-elle. « Je voudrais bien comparer la différence avec une vraie bite. Et si cela ne vous gêne pas et comme vous êtes le seul garçon dans les parages, je voudrais savoir si je peux utiliser la vôtre ? ». En prononçant ces mots, elle activa le bouton « STOP » de l’ascenseur.
– « Utiliser ma quoi ? », demanda-t-il.
– « Votre bite. Votre queue, Votre pine ! », lui lança-t-elle, un peu excédée. Puis, n’y tenant plus, elle tomba à genoux, sauta sur la braguette du facteur, actionna la fermeture éclair et sortit une bite violette extrêmement dure et raide. « Il doit avoir mal de bander comme ça », pensa-telle. Elle goba l’objet sans hésitation. Le goût caractéristique du sperme pouvait déjà se faire sentir. Il avait vraiment été excité par la performance de la jeune salope beurette. L’homme balbutia quelques mots incompréhensibles, puis attrapa la tête d’Aïcha et lui intima des allers-retours comme pour baiser la bouche de la beurette qui ne demandait que ça. Très rapidement, il se soulagea en vidant ses couilles sur la langue de la très cochonne et très baisable petite maghrébine. Le plaisir passé, il parut confus et s’excusa presque. Aïcha le trouvait vraiment mignon, tout habillé, avec juste sa bite qui sortait de son pantalon comme si elle voulait voir ce qui se passait dehors !
– « T’en fais pas. », le rassura Aïcha. « J’adore ça ! Par contre, pour te faire pardonner, maintenant tu vas me baiser comme un chienne arabe ! ». En prononceant ces mots, elle reprit la pause qu’elle avait pendant les essais de vibromasseur puis lui ordonna : « Allez, défonces-moi la chatte ! ». Sans tarder, le facteur enfila sa bite, toujours extrêmement dure, dans le jeune con luisant de mouille. Il attrapa Aïcha par les hanches et entreprit un mouvement de va-et-vient digne d’un film porno. Il secouait Aïcha comme un prunier. Mais cette dernière trouvait la situation tellement excitante et la queue du jeune homme tellement bonne qu’elle s’en aperçut à peine.
Puis, il eut l’idée géniale de prendre le vibro et de lui coller sur le clito. L’effet fut immédiat. Des flots de mouille inondèrent le pantalon, resté en place, du facteur. La jeune beurette traitait le jeune homme de tous les noms d’oiseaux qu’elle connaissait et lui indiquait qu’elle adorait se faire défoncer par sa grosse queue bien dure.
Cette fois, la séance dura un peu plus longtemps. Le facteur fut capable de nombreux mouvements ce qui permit à Aïcha d’avoir un, puis deux, puis trois orgasmes consécutifs. Enfin, le facteur se retira de la chatte de la beurette qu’il baisait depuis une vingtaine de minutes et se soulagea sur la croupe de sa partenaire. De puissants jets de foutre arrosèrent également le dos du chemisier de la jeune fille. Leurs gémissements trahissaient le plaisir qu’ils prenaient.
Aïcha était satisfaite. Mieux, elle était comblée. Elle embrassa tendrement le jeune facteur que, cette fois, elle laissa partir. Puis rentra dans son appart : la chasse avait été très courte, mais excellente !