Aïcha et Samira, deux beurettes nymphomanes, quittent leur banlieue pour un endroit plus respectable. Un appartement dans une cité BCBG où plusieurs de leurs amies arabes sont déjà installées. A en croire ces amies, c’est sexe à tous les étages et orgasmes toutes les trois minutes. Alors, elles sont très contentes de pouvoir enfin déménager. Oh, bien sûr, il a fallu qu’elles soient très compréhensives avec le propriétaire, mais qu’importe. Maintenant à elles la belle vie et les coups de bites à ne plus savoir qu’en faire ! En plus, le proprio était plutôt mignon et particulièrement bien monté. Samira se souviendra longtemps de cet après-midi, dans le bureau du propriétaire, où celui-ci après avoir écouté les arguments de la jeune beurette lui a déballé son engin et lui a simplement dit : « Tu veux cet appart ? Alors suces ma queue et fais moi voir que tu es une vraie salope beurette ! ». Une fois la surprise passée, Samira a senti sa chatte se gonfler et dégouliner de désir. Elle a alors avalé la monstrueuse queue de l’homme et ne s’est pas privée du plaisir qu’elle pouvait prendre en léchant ce magnifique gland…
Après avoir fait jouer sa langue méticuleusement tout autour du phallus du propriétaire, Samira goba brusquement la bite turgescente. L’homme ne put retenir un râle de plaisir. La cochonne beurette tenta une gorge profonde, comme elle l’avait souvent vu faire dans les vidéos pornos qu’elle regardait presque chaque soir en se branlant le clito. Elle fut surprise de constater qu’elle parvenait à avaler la totalité du sexe tendu alors qu’il était d’une taille impressionnante. Puis, elle alterna gorges profondes et titillements du gland. Si bien qu’après quelques minutes de ce traitement, son partenaire, devant tant d’expertise, se retira brusquement de la bouche de sa maîtresse et éjacula tout son sperme, et il y en avait beaucoup, sur ses magnifiques cheveux noirs de jeune arabe délurée. Plusieurs jets du liquide crémeux recouvrirent sa chevelure. Après quelques instants, l’homme reprit ses esprits, souleva Samira, la retourna et lui dit : « A toi maintenant, je vais te coller ma bite dans la chatte et te faire jouir, ma petite salope arabe ! ». A ces mots, Samira sentit un flot de cyprine inonder l’intérieur de ses cuisses. Il avait déposé Samira, à plat ventre sur son bureau, son petit cul bien remonté vers son sexe prêt à empaler la beurette. Les hauts talons de la jeune femme donnaient à sa croupe une cambrure parfaite. Sa vulve était offerte, grande ouverte et palpitante. Lorsque l’homme effleura l’entrée du sexe humide de la jeune maghrébine avec sa pine, Samira se sentit défaillir. C’était une vraie nymho, et elle adorait ces moments divins où des bites d’hommes se présentaient à l’entrée de son con. Lentement, régulièrement, sans à coup, l’homme pénétra la beurette. Il lui enfonça doucement son pieu jusqu’au fond de son sexe. Cette entrée paru interminable à la petite salope en chaleur que Samira devenait peu à peu. Arrivé tout au fond du vagin de Samira, il ne bougea plus et resta immobile comme figé. Seules les palpitations de la queue du propriétaire faisaient bouger l’intérieur de Samira. Samira cru devenir folle. « Qu’attend-il pour me baiser ? Je n’en peux plus, je veux qu’il me nique ! ». Brusquement, sans prévenir, l’homme commença des mouvements de va-et-vient dignes d’un métronome. Ni trops forts, ni trop doux, d’une régularité surprenante, ses coups de reins répétés ne tardèrent pas à emporter Samira dans un délire des sens que ses cris et ses soubresauts trahissaient. L’homme éjacula une seconde fois sur la croupe et le dos de la beauté arabe.
Après avoir repris ses esprits, Samira se décolla le ventre du bureau, se retourna et sourit au propriétaire. Elle sentait bon le sperme chaud. Elle en était recouverte : plein les cheveux, plein le dos, plein le cul ! L’homme lui indiqua une porte : « c’est la douche, allez-y, je prépare le bail de l’appart, il est à vous ! ». Samira était ravie, elle venait de se faire baiser comme une chienne arabe et en plus elle avait gagné un nouvel appart ! Enfin Aïcha et elle pouvait enfin commencer à vivre leur vie. Une vie de petites salopes beurettes !
