Voilà trois semaines que les deux amies beurettes se sont installées dans leur nouvel appartement. Après des débuts plutôt mouvementés, les derniers jours furent relativement calmes. Aïcha avait bien trouvé le moyen de se faire baiser dans l’ascenseur par le facteur, mais ne s’agissant que d’un « petit coup rapide », elle n’avait pas pris cette aventure très au sérieux. Puis avec cette manie de se promener en jupe ultra-courte et sans culotte, elle ne pouvait vraiment pas s’attendre à autre chose ! D’ailleurs, elle ne voulait pas s’attendre à autre chose !!
Samira, de son coté, passait ses soirées à regarder des DVD pornos et à utiliser tous les jouets qu’elle achetait sur Internet. Sa collection devenait impressionnante. En effet, c’était la première fois de toute sa vie qu’elle pouvait se branler n’importe où et n’importe quand dans l’appartement. Seule, Aïcha, lançait un « encore ! tu exagères », de temps à autre. Mais le plus souvent, elle fouillait dans la collection de Samira pour se donner, elle aussi, du plaisir. Une fois ou deux elles avaient même été jusqu’à se lècher mutuellement la chatte…
Ce matin, Samira se sentait en forme et elle avait décidé d’utiliser, pour la première fois, la salle de sport que mettait à leur disposition la co-propriété. Cette salle était magnifiquement équipée avec piscine, sauna, jakuzzi et accessoires de musculations dernier cri. Elle avait donc enfilé un body fushia en lycra extrêmement moulant et mis des jambières blanches qui lui arrivaient à mi-cuisses tout en laisant ses pieds nus. Elle ne portait pas de chaussures. C’était vraiment une superbe femme. Une vraie schéhérazade des mille et une nuits ! Elle parcourut en seulement quelques instants, les quelques étages qui la séparaient du sous-sol où se trouvait le spa. Arrivée devant la porte, elle se rendit compte qu’elle n’était pas la première malgré l’heure matinale. En effet, des bruits s’échappaient de la salle de musculation. En prêtant l’oreille, elle comprendrit que ceux-ci ressemblaient beaucoup plus à des soupirs de plaisir qu’à des souffles d’efforts… Elle s’approcha doucement et glissa un regard dans la fente des deux battants de la double-porte d’entrée de la salle, restée entre-ouverte.
Samira se fit discrète. Dans la salle, sur une espèce de machine infernale, Samira vit une femme, plus trés jeune mais splendide, genre bourgeoise, bien maquillée, bien coiffée et équipée du dernier body à la mode. Cette superbe brune aux yeux verts était assise au milieu de la machine, sur un petit banc, à environ un mètre du sol, les bras à l’équerre vers le haut et écartés de son corps, les mains accrochées à des poignées placées plus haut que sa tête mais très écartées l’une de l’autre. Cette position avantageait sa poitrine saillante, déjà naturellement bien faite. On pouvait même apercevoir la forme de ses deux pointes de seins sur son body, empreintes laissées par ses tétons manifestement très durs et tendus. Ses pieds, nus, étaient placés dans deux espèces d’étriers, placés également assez hauts, mais légèrement plus bas que son assise. Ces étriers étaient trés écartés l’un de l’autre, ce qui donnait à la femme une position d’une indécence folle en la forçant à ouvrir ses cuisses au maximum de ses possibilités. Elle ne portait pas de culotte… Quoique Samira n’en soit pas sûre, il s’agissait plutôt d’une déduction. En effet, ses hanches étaient nues mais son entre-jambe était dissimulé par… la tête d’un homme qui s’activait sur le sexe de la femme. Elle avait les yeux fermés et poussaient de petits gémissements tandis que des bruits de mouille s’échappaient de son intimité. L’homme devait la sucer avec énergie ! Samira, devant ce spectacle, sentit l’excitation la gagner. Machinalement, elle porta la main sur son sexe et, plus précisemment, sur son clitoris. Elle entreprit de se carresser au travers de son body. Ce dernier était tellement moulant qu’elle sentait parfaitement les sensations provoquées par ses doigts. Elle émit un léger soupir. L’homme tourna la tête dans sa direction. Il ne la vit pas. Mais Samira reconnu le moniteur sportif du spa. C’était un « grand frère » comme on disait dans sa cité d’origine. Il était très grand, environ deux mètres. Il avait la trentaine très musclée et un visage viril mais aux traits fins. C’était un très bel homme. Sa peau naturellement dorée, sa chevelure sombre et ses yeux noirs le rendait irresistible auprès de nombreuses femmes, dont Samira. Il se prénomait Moustaham, prénom arabe qui signifit « amoureux fou ». Tout un programme ! Les lèvres, le menton, le nez de Moustaham étaient tout trempés de la mouille de sa « cliente ». Ce détail, plus que tout autre, provoqua un accroissement de l’excitation de notre jolie maghrébine qui se traduisit immédiatement pas une tâche humide sur l’entre-jambe de son body. L’homme reprit son activité, en expert. L’état d’excitation de la femme offerte en témoignait.
Après quelques minutes, la femme sur la machine ne tenait plus en place. Ces cris alternaient avec les soubresauts de son corps. On eut dit qu’elle voulait absolument être délivrée de sa position mais que, dans le même temps, elle ne voulait qu’une chose : que ça continue. Et Moustaham continuait…
Samira enviait de plus en plus la femme. Cela faisait au moins un quart d’heure qu’elle observait la scène et donc que la cochonne de la salle se faisait bouffer le clito par le beau mâle. Elle-même commençait à avoir de plus en plus de difficulté à se retenir. Toutes les deux ou trois secondes, il fallait qu’elle arrête de se tripoter sinon c’était l’orgasme assuré. Et, elle ne voulait rien rater du spectacle, encore moins jouir avant cette cochonne dont elle se demandait comment elle faisait pour se retenir aussi longtemps.
Brusquement, la femme se lâcha d’une main et arracha le haut de son body, laissant échapper sa poitrine. Ses seins étaient vraiment splendides : généreux, fermes, au galbe parfait. Ses tétons, très érigés, étaient plantés comme deux petites pointes saillantes au beau milieu d’aréoles larges et sombres. Pour la première fois, la femme dit quelques mots, noyés dans un souffle : « Caresses-moi les seins ». En bon élève, Moustaham s’exécuta. Sans ralentir son travail oral, il dirigea l’une de ses grandes mains sur la poitrine de son élève et commença à malaxer, doucement mais fermement, les seins offerts. La taille des mains du moniteur arabe lui permettait de titiller les deux pointes de seins en même temps. La femme redoubla ses saccades qui maintenant devenaient plus précises : il s’agissait plutôt de coups de reins destinés à coller sa chatte encore plus fort sur la bouche de Moustaham.
Samira n’en pouvait plus, son body était complètement humide et de la mouille commençait à s’en échapper et dégouliner le long de ses cuisses. Elle s’accroupit brutalement et écarta nerveusement son body pour profiter du contact direct de ses doigts sur son sexe rougeoyant de désir. Sa chatte de beurette en chaleur était brûlante et trempée. Ses lèvres étaient rouges et gonflées comme jamais et son petit clitoris sortait de son capuchon en semblant crier : « J’en veux, j’en veux ! ». Et, Samira, en bonne beurette cochonne, allait lui en donner ! Elle le saisit entre son pouce et son index et commença à le faire délicatement rouler. Elle ne voyait plus ce qui se passait dans la salle de sport, mais elle entendait les cris, presque les hurlements, de la femme. Victime consentante de l’expertise buccale de Moustaham.
Tout à coup elle entendit nettement un « baise-moi » venir de la salle. Samira se pencha légèrement et entrouvrit la porte afin d’assister au spectacle. La pauvre beurette n’en pouvait plus, son clito en feu voulait jouir mais elle ne voulait pas. Pas encore. Alors, il fallait toute son expérience et toute sa dextérité pour maintenir un niveau d’excitation maximal sans atteindre l’orgasme. Durer, durer, il fallait qu’elle arrive à durer. C’était vraiment trop bon pour que ça s’arrête déjà. Dans la salle, Moustaham s’était levé et présentait son sexe à l’entrée de la chatte de sa maîtresse du moment. Samira n’en croyait pas ses yeux : en plus d’être superbe, cet homme possédait une bite de cheval !
Tendue fièrement vers le haut, d’une longueur inimaginable, d’un diamètre indécent, la pine de Moustaham commençeait à pénétrer lentement dans le con de la femme. La mouille, plus qu’abondante du sexe de son élève, favorisait la pénétration qui aurait pu être difficile, voire impossible, de la gigantesque chose que Moustaham avait entre les jambes. Il parvint à enfiler son phallus jusqu’aux couilles. La femme ne bougeait plus, son visage était méconnaissable : rouge et gonflé on aurait pu croire qu’elle manquait d’air. Moustaham commençeat un premier recul. La sortie de sa bite parraissait interminable. La femme commençait à trembler de tous ses membres. Samira ne pouvait plus s’empêchait de se branler, frénétiquement. Moustaham, avait enfin la bite hors de la chatte de la femme. Et là, il fit un truc de folie. Il posa délicatement son gland sur le clito de la femme, et commençat à l’agiter rapidement tel un infernal vibro naturel. Samira crut qu’elle allait mourir d’excitation. Elle suspendit quelques courts instants sa petite branlette. La femme poussa un cri rauque, effrayant. Ce fut le signal pour Moustaham d’entreprendre une nouvelle et lente pénétration. Arrivée au fond du corps de la femme, il ressorti son sexe aussi lentement qu’il l’avait entré et recommença ses carresses « vibrantes » sur le clito de son élève. La femme devenait folle. Elle ne criait plus, elle hurlait. Elle n’attendait plus d’atteindre un orgasme, elle les enchainait. Moustaham répéta son manège une dizaine de fois. Samira, était devenue la plus salope beurette de la création. Elle s’était allongée sur le ventre à même le sol, la croupe relevée pour permettre à ses doigts de fouiller son sexe et de triturer son bouton d’amour. Et elle frétillait comme un poisson qu’on sort de l’eau. Elle s’était installée dans l’axe de la porte pour ne rien rater du spectacle. Elle attendait le signal pour jouir. Ce ne fut pas long. Tout à coup, en vibrant son gland sur le clitoris de sa partenaire, Moustaham poussa un cri et éjacula. Il noya le clito, la chatte, les poils et le ventre de la chanceuse sportive avec un foutre épais et gluant. Plusieurs jets furent nécessaires pour calmer l’étalon et Samira… Dès le premier trait de sperme, la jeune arabe avait perdu tout contrôle. Elle s’était retournée sur le dos et avait poussé un cri strident tout en se contractant violemment sur le sol, la main entière enfoncée dans sa chatte grande ouverte. Plusieurs spasmes furent nécessaires pour assouvir la pression accumulée.
Après avoir reprit ses esprit, elle rassembla ses affaires et regagna rapidement son appartement en se promettant de revenir voir le beau Moustaham.